SITE DE L'ECOLE DES ARTS INEFFABLES PASSERELLES

 

A propos de nous

        

CARMEN GHEORGHIU

        

        

        QUI

 

                Musicienne, poète, comédienne, théologienne, enseignante, tout au long des années, dans ma réflexion et mon activité avec les enfants (et avec des plus grands), je suis arrivée à développer un principe et une méthode que j’ai appelés l’Interdisciplinarité en synesthésie, que j’ai mis en œuvre dans des ateliers et des spectacles. Méthode interdisciplinaire, intergénérationnelle, interculturelle, interethnique

 

                Ainsi, j'ai créé l'Ecole des Arts INEFFABLES PASSERELLES où, entourée d'un Maître de Danse et d'un Maître de Beaux-Arts, nous dispensons un enseignement interdisciplinaire

 

        QUOI

 
               
                 Des  ateliers  et  des  spectacles  par  l'Interdisciplinarité  en  synesthésie 
 
 
            

        COMMENT

 

                Dans le cadre d’ateliers interdisciplinaires, « couronnés » de spectacles-restitution, valorisant les personnes qui y participent, leur apprentissage et leurs efforts, ainsi que la ténacité, durant la préparation

               Les enfants (selon la possession native de certaines formes d’intelligence et leur penchant vers l’expression de ces formes, tout en les incitant à s’ouvrir vers celles en développement, où ils sont, apparemment et à un certain moment, moins « performants ») prennent part à une création interdisciplinaire (2 disciplines minimum, 3 maximum, pour chaque participant), dont ils sont acteurs et bénéficiaires

   

                Les différentes parties du cerveau « basculent » l’information d’une forme de conception et de réalisation mentale et motrice, ainsi que d’expression esthétique vers une autre, grâce au syncrétisme, souvent - tout en se rapportant au même contenu cognitif - et déclenchent différentes réactions émotionnelles liées à ce même et unique contenu (chacun trouve son plaisir esthétique en fonction des arts dont il se sent plus proche et des parties du cerveau qu’ils sollicitent)

 

                Il ne s'agit pas de mettre les arts en juxtaposition ou en illustration les uns pour les autres, mais d’y chercher les « ineffables passerelles » (« Les parfums, les couleurs et les sons se répondent »), celles qui ferons qu’entre les neurones de notre cerveau des synapses nouvelles et différentes seront réalisées

 

                L'on arrive, ainsi, à la transdisciplinarité

 

En tant qu’enseignante (musique, théâtre, poésie), je m’intéresse de près – depuis de longues années – au développement plénier et harmonieux des petits, par mes « armes » qui se trouvent du côté des arts (musicienne, poétesse et comédienne).

 

En 2012 j’ai créé – dans l’esprit fougueux et rêveur de la Renaissance -l’Ecole des Arts Ineffables passerelles (musique, théâtre, danse, beaux-arts, littérature), où je reçois des participants dès 6 mois (en ateliers avec leurs mamans, car méthode intergénérationnelle, pour forger – voire, parfois, établir des liens interfamiliaux et sociaux…), jusqu’à…n ans et où nous travaillons selon le principe et la méthode (m’appartenant, car le fruit de plus de 30 ans d’enseignement et, en parallèle, de pratique artistique) de l’Interdisciplinarité en synesthésie.

 

Il s’agît d’apporter aux plus petits (et plus c’est petit, mieux c’est…car c’est là que beaucoup de choses fondamentales se jouent) les « outils », de leur donner l’envie et de créer chez eux l’habitude de réfléchir et, à la longue, de penser par eux-mêmes (sic !). Cette méthode et ce principe d’Interdisciplinarité dans et par les arts, de par les connexions qu’ils réalisent, apportent, dans et avec le temps, la création de nouvelles synapses, à l’ère où l’on nous donne :

 

1. ou du « tout fait », ce qui provoque un état de perplexité chez le « récepteur-spectateur » et non pas « acteur », qui ne sait rien du parcours pour arriver à obtenir l’ »objet » - d’où la relation « robotique » avec la réalité (à coups de « court circuits forcés », où l’on brûle les étapes, sans en avoir intégré les éléments et les moments, d’où des hiatus, cassures, lacunes qui déteignent, par la suite, sur la personnalité !) Ah !la belle vie par procuration !

 

2. ou bien,  des »bribes » des phénomènes – du « tout-morcelé » -  ce qui conduit à une perception désarticulée de la réalité, car les mécanismes mentaux pre- et post- cognitifs ne se déclenchent pas ! A ce stade des choses, ce n’est pas étonnant qu’il n’y ait pas des « va et viens » entre les différents niveaux de la conscience (qui devrait être en train d’évoluer), mais qu’il s’agît de tuer les éléments formateurs et bénéfiques de ce mécanisme, en leur ôtant toute chance d’y parvenir ! Et cela parce que ce qu’il manque c’est, justement, le parcours initiatique, qui est mis entre parenthèses !

 

Il y a, à travers le travail le selon cette méthode, de la découverte, de la manipulation des objets (instrument de musique, petites percussions, matières pour les beaux-arts), de la socialisation (travail en groupe pour le théâtre, pour la danse et pour les contes), des rapports entre le corps et l’espace (danse), de l’élocution (littérature et théâtre). Il y a, aussi, un gain du côté de l’endurance, de la persévérance (pour arriver à jouer d’un instrument…), de la patience. Cela crée, aussi, de l’émulation, mais dans un esprit « sportif » ! Sans dire que, petit à petit, l’enfant acquiert un « bagage » culturel et  artistique par le biais de la pratique « immédiate » et qu’il découvre, dilate et fleurit sa sensibilité, ce côté si précieux de l’humain, qui l’aidera à développer l’empathie, condition sine qua non d’une bonne socialisation !

 

Et tout cela, en passant d’une forme d’art (et de son expression spécifique) à une autre, ce qui signifie « mobilité » et souplesse de la pensée, dans les processus : simple-complexe, part-tout, concret-abstrait, etc.

 

 

 

                 

         

 

 

        POUR QUI

 

                Pour tous, mais principalement pour les enfants, chez qui les capacités de mémorisation, la réceptivité, la curiosité et la fraîcheur sont plus présentes et plus actives, grâce à l’absence des clichés

 

                C’est inutile de dire que les meilleures choses se font dans la durée (actualisation, approfondissement, mémoire mentale et motrice, du simple vers le complexe, les accumulations quantitatives et le saut qualitatif…), car l’éducation (ex-ducere) est un parcours de longue haleine et les vrais fruits ne se laissent cueillir, nécessairement, après un bref laps de temps